lundi 18 mai 2015

Infos




Courrier aux Parlementaires

Eau Secours a envoyé le 10 mai un courrier aux parlementaires du Loiret pour leur demander de se prononcer contre l'amendement de la loi NOTRe qui  transfère la compétence "eau" aux intercommunalités.







Pesticides


"In Vivo trucide le vivant"
  
Une quinzaine de militants de Greenpeace ont installé mercredi 13 mai à Paris de gros bidons symbolisant des pesticides devant l'entrée du siège de la première coopérative agricole de France, InVivo, pour dénoncer l'utilisation intensive de ces produits chimiques

"InVivo est la première coopérative agricole de France. Le chiffre d’affaires lié à la vente de pesticides de synthèse était d’un milliard d’euros pour 2012 – 2013 !

L’année dernière, InVivo a investi dans une société spécialisée en recherche et développement sur les pesticides chimiques à bas prix.

Nous leur demandons d’arrêter ces investissements, et de les rediriger sur la recherche de pratiques et solutions alternatives, afin de les rendre accessibles au plus grand nombre d'agriculteurs. InVivo doit à très court terme arrêter la vente des pesticides de synthèse les plus dangereux.

Une coopérative agricole se doit de porter les valeurs humaines et être au service des agriculteurs. Pas de les empoisonner en les encourageant à la consommation de pesticides chimiques !

Les preuves scientifiques s’accumulent et montrent que les agriculteurs, ceux qui nous nourrissent, sont les premières victimes de ces poisons ! C’est inacceptable.

Le rapport que nous publiions hier sur l’impact sanitaire des pesticides chimiques montre que plus l’exposition aux pesticides chimiques est importante, plus les risques de développer des cancers et des maladies neurodégénératives sont grands.

Les dirigeants d'InVivo, Philippe Mangin et Thierry Blandinières, doivent prendre leurs responsabilités et faire les choix stratégiques qui s’imposent pour cesser d’intoxiquer les agriculteurs.

Vous pouvez également agir. Défiez l’agro-business. Engagez-vous concrètement pour une alimentation et une agriculture saines !"

Greenpeace France


Vous pouvez vous joindre à cette mobilisation en interpellant les dirigeants d'InVivo et le réseau GAMMVERT qui est l'une de leurs filiales


COMMENT AGIR ? Sur le site : c'est le plus facile
Cette cyber @ction est signable en ligne









"Je suis jugé demain pour mon vin bio"


Je suis Thibault Liger-Belair, vigneron en Bourgogne. Mon procès pour pour "vin bio" se déroule demain! Je remercie toutes celles et ceux qui me soutiennent en signant cette pétition. Je pense qu’en tant que vigneron, nous avons un réel devoir de responsabilité vis-à-vis de notre sol qui nous nourrit, des futures générations à qui on doit le transmettre et de nos clients que nous ne voulons pas empoisonner. Je ne m'attendais pas à avoir le soutien d'autant de monde, c'est une bonne chose. Cela me pousse à aller jusqu’au bout de ma démarche."

En savoir plus:Chères amies, chers amis,

Transformer son champ en cimetière d’insectes. Voilà ce qu’a refusé de faire un vigneron de Bourgogne en s’opposant à l’empoisonnement forcé de sa terre par des insecticides. Pourtant demain, il doit être jugé en correctionnelle pour cela! En nous unissant, nous pouvons dénoncer cette aberration et protéger l’avenir d'une agriculture saine en France.

Thibault a refusé d’appliquer un arrêté préfectoral qui impose l’usage préventif de pesticides contre une maladie des vignes. Les alternatives non-chimiques existent; mais elles ne pourront se développer que si la démarche des paysans bio est respectée. Avec un tollé citoyen d'ampleur inédite, nous pouvons mettre fin à ces politiques qui sont des coups de massue frappant à l’aveugle des régions toutes entières.

Ne laissons pas Thibault, ni aucun autre agriculteur bio à l'avenir, payer pour avoir refusé d'utiliser du poison! Signez et relayez largement cette pétition: nous la remettrons au Préfet, accompagnés d'une délégation de fermiers, pour lui demander d'arrêter les poursuites et faire de ce cas un précédent clef dans la protection de la filière bio en France: 

https://secure.avaaz.org/fr/crime_vigneron_vf_rb/?bbqsHhb&v=58580
Transformer son champ en cimetière d’insectes. Voilà ce qu’a refusé de faire un vigneron de Bourgogne en s’opposant à l’empoisonnement forcé de sa terre par des insecticides. Pourtant demain, il doit être jugé en correctionnelle pour cela! En nous unissant, nous pouvons dénoncer cette aberration et protéger l’avenir d'une agriculture saine en France.

Thibault a refusé d’appliquer un arrêté préfectoral qui impose l’usage préventif de pesticides contre une maladie des vignes. Les alternatives non-chimiques existent; mais elles ne pourront se développer que si la démarche des paysans bio est respectée. Avec un tollé citoyen d'ampleur inédite, nous pouvons mettre fin à ces politiques qui sont des coups de massue frappant à l’aveugle des régions toutes entières.

Ne laissons pas Thibault, ni aucun autre agriculteur bio à l'avenir, payer pour avoir refusé d'utiliser du poison! Signez et relayez largement cette pétition: nous la remettrons au Préfet, accompagnés d'une délégation de fermiers, pour lui demander d'arrêter les poursuites et faire de ce cas un précédent clef dans la protection de la filière bio en France: 

https://secure.avaaz.org/fr/crime_vigneron_vf_rb/?bbqsHhb&v=58580

La France est le 3ème consommateur au monde de pesticides. Ces produits chimiques anéantissent des milliers et des milliers d’insectes, empoisonnent les paysans, contaminent durablement nos sous-sols, notre air et notre eau. Ils peuvent avoir leur utilité pour protéger nos cultures des maladies les plus meurtrières; mais leur recours doit rester mesuré, étudié au cas par cas, et complété par les alternatives respectueuses de l’environnement.

Un autre paysan s’était opposé l’année dernière à l’usage préventif de pesticides; il a été relaxé en appel grâce à un soutien citoyen sans faille! Répétons cette victoire et montrons que son cas n’était pas un accident de parcours. Si la France veut à terme réduire drastiquement sa consommation de pesticides, elle doit commencer par respecter l’agriculture biologique. Celle-ci n’est pas une lubie: c’est un choix de société, le monde de demain que nous voulons construire ensemble.

Le gouvernement a pris des engagements allant dans le bon sens: une réduction de l'utilisation des pesticides de moitié prévue d'ici 2050, une initiative encourageant les maires à bannir les pesticides de leurs communes... Ces avancées nationales n’auront de sens que si l’on cesse, sur le terrain, de pousser les agriculteurs à en consommer toujours plus! Demandons au préfet de Saône-et-Loire de respecter la ligne directrice ministérielle et de mettre fin aux arrêtés préfectoraux abusifs:
 







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